Ce 3è Portique de Quai a été inauguré le 18 mai 2017 par le Ministre des Transports Edgard Alain Mebe Ngo’o en présence du Directeur Général du Port Autonome de Douala(PAD), Cyrus Ngo’o. Zoom sur cette Infrastructure qui est équipée de technologie de dernière génération et des systèmes de contrôle innovant.
Le 3è Portique de Quai du Port Autonome de Douala est une infrastructure conçue par le département d’ingénierie de AP Moller Maersk et fabriquée par l’entreprise ZPMC, spécialisée dans la production des Portiques à Quai et installée à Shanghai. Ce 3è Portique qui va contribuer à améliorer significativement les performances du Port de Douala et par conséquent sa compétitivité, est capable de manutentionner en « twins », les conteneurs plein tant au débarquement qu’à l’embarquement. Il peut aller chercher des conteneurs encore plus loin dans les navires (15 rangées contre 13 pour les Portiques actuels), avec une capacité de levage plus importante (45 tonnes contre 40 tonnes pour ceux installés actuellement).
La technologie de dernière génération et des systèmes de contrôle innovant dont il est doté, font de lui, le tout premier Portique équipé de certaines technologies de son industrie. Pour le Directeur Général du Port Autonome de Douala, Cyrus Ngo’o, « ce 3è Portique est un ouvrage qui fait partie des biens de l’Etat. Grace à son envergure, sa technologie et ses potentialités, il va projeter notre Port dans un service quantitatif et qualitatif amélioré et continuer ainsi à la performance des ses opérations portuaires et à la compétitivité du Port de Douala ».
Il faut souligner que ce 3è Portique de Quai, est le résultat d’une synergie d’actions observée entre le concédant qu’est le PAD et le concessionnaire, Douala International Terminal(DIT) dans toutes les étapes ayant conduit à l’acquisition de cet important équipement évalué à plus de 5 milliards de FCFA. C’est en réalité la preuve de la réussite du processus des actions de normalisation prescrites par le gouvernement et mises en œuvre par la Direction Générale du PAD, pour l’attractivité, les performances et la compétitivité du Port de Douala. Pour le Ministre des Transports Edgard Alain Mebe Ngo’o, « Ce 3è Portique va permettre d’accélérer le rythme de déchargement des navires, il va abréger les délais de passage des marchandises et dans le même temps renforcer la compétitivité et l’attractivité du port de Douala ». Bon à savoir, 95% des échanges commerciaux entre le Cameroun et l’extérieur se déroulent au Port de Douala.
Le Pasteur Dieunedort Kamdem, « Général de Dieu ».
A l’occasion de la célébration de la fête de l’unité nationale le 20 mai 2017, le Pasteur Dieunedort Kamdem, le promoteur de la Cathédrale de la Foi à Yaoundé, a publié sur le réseau social Facebook, une dizaine de questions sur des sujets concernant la jeunesse, la gouvernance, l’homosexualité, l’église, les cercles ésotériques etc…Yaoundeinfo.com vous livre ici ces 10 questions du « Général de Dieu ».
Cameroun, terre de mes ancêtres, Cameroun Afrique en miniature, nourricier de l’Afrique Centrale…en te souhaitant une très belle fête de l’unité, j’ai quand même 10 questions à poser.
1-Qu’as tu fais de tes héros du passé? Y’a-t-il juste un seul qui a été honoré ?
2-Pourquoi tues tu les héros du présent alors qu’ils sont encore vivants? D’où vient ce nouveau type d’esclavage diabolique que le système a mis en place pour frustrer ces étoiles montantes?
Quand allons-nous détruire cet esprit de crabologie, véritable obstacles à notre développement ? Quand????
3- Est il encore possible de travailler dans ce pays sans donner son derrière à un DG? Et entrer dans une secte pernicieuse?
4- Pourquoi nous fait-on croire que le succès ne vient que lorsque le péché et l’abomination sont de ton côté ?
5- La fête de l’unité est elle devenue la fête du 3ème âge regardant le 1er âge défiler? Qui a envoûté le 2ème âge?
Regardez juste le défilé tout à l’heure …Qui sont à la tribune? Qui sont sous le soleil?
6- La paix est-elle plus importante que la vie? La paix est-elle l’absence de guerre ou la présence générale et individuelle d’un sens de direction et d’un projet d’avenir qui nous permet de tutoyer le futur avec assurance ?
Combien de jeunes ont remplacé des projets par des regrets?
7- Les églises de réveil constituent plus de 30% de la population camerounaise et jusqu’ à présent toujours marginalisées et accusées de tous les maux…Sommes-nous au temps de Neron ?
8- Il existe un ministère en charge avec le monde islamique, une banque islamique de développement et un argent envoyé par le gouvernement pour faciliter tous ceux qui vont à la Mecque. Ou est juste un département en charge du monde chrétien? Une coopérative chrétienne de développement ? Et qui utilise l’argent alloué pour les pèlerinages en Israël ?
Qui va se lever et revendiquer cela?
Ma dernière question ira à l’Église.
9- Église…Qui nous a envoûté au point de croire que l’on peut provoquer le réveil seul? Sans nous unir? Quand Boko Haram à attaqué notre nation tous les partis politiques se sont mis d’accord de le combattre avant de revenir aux luttes politiques. Pourquoi ne laissons-nous pas nos différences pour lutter contre le chef de Boko Haram qui est Satan et botter la rose croix et la Franc Maçonnerie hors de notre pays?
10- Acceptons nos diversités, respectons nos aînés, apprécions nos frères et humilions nous sous la main puissante de Dieu par un véritable esprit de repentance et le réveil viendra. Aucun politicien ne changera le Cameroun….c’est notre responsabilité. ..la mort ou le réveil nous vaincrons.
C’est en posant les bonnes questions qu’on a de bonnes réponses.
Bonne fête de l’unité.
La réunion convoquée par le Promoteur de la Chaine, Emmanuel Chatue, se tient ce lundi 22 mai 2017 à Douala. Les premières indiscrétions de cette réunion d’urgence…
Une réunion de crise se tient ce lundi 22 mai 2017 au siège de la chaine de télévision privée Canal2 international à Douala, a appris yaoundeinfo.com de sources internes. La réunion qui sera présidée personnellement par le promoteur de la chaine, Emmanuel Chatué, sera consacrée à la situation qui prévaut actuellement à la Représentation de Canal2 à Yaoundé.
Selon nos sources, sont convoqués à cette réunion d’urgence, outre le Directeur Général adjoint chargé de l’information, Jean Bruno Tagne, mais également le Directeur administratif Joseph Yankeu, et les journalistes Bouba Ngomena, Debeau Arley Andebe, Ghislain Pierre Essono, Jackson Mbozo’o, Rodrique Tongue et Arnaud Nguefack. Des indiscrétions font état d’une ambiance qui serait de plus en plus « tendue » à Canal2 Yaoundé. Ambiance faite de suspicion et de frustration. Certains parlent aussi, sous cape, des conditions de travail qui seraient de plus en plus décriées par certains journalistes.
Aussi, Emmanuel Chatue, qui aurait eu vent de certaines indiscrétions annonçant des éventuelles « démissions », va sans doute au cours de cette réunion, mettre de l’ordre dans la maison et rassurer les uns et les autres. Surtout redéfinir la politique de fonctionnement des services et les critères d’affectation du personnel. La réunion qui se tient ce lundi 22 mai sera donc sans doute déterminante pour l’avenir de certains journalistes convoqués et pour un meilleur fonctionnement de Canal2 à Yaoundé.
Le Directeur Général de Camtel David Nkoto Emane(à Gauche) et le Directeur Général de l’Ins Joseph Tedou pendant la signature de leur partenariat le 22 mai 2017 à Yaoundé
Les Directeurs Généraux de la Cameroon Télécommunications(Camtel) et de l’Institut National de la Statistique(INS) ont procédé le 22 mai 2017 au siège de Camtel à Yaoundé, à la Signature des actes de coopération qui portent notamment sur une convention cadre de partenariat pour l’assistance technique à camtel dans la réalisation de ses activités statistiques et un contrat d’assistance technique pour la mise en place d’un système d’informations statistiques à camtel et la production d’un annuaire statistique et d’une base de données statistiques.
Camtel et l’INS vont désormais se développer mutuellement. A travers le partage et les échanges d’expériences dans le domaine des données de masse. Un partenariat gagnant-gagnant signé entre David Nkoto Emane, Directeur Général de Camtel et Joseph Tedou, le Directeur Général de l’INS. « Nous allons du côté de camtel apprendre ce qu’il ya dans le monde des TIC par ce que l’économie numérique, la téléphonie, sont des domaines de développement futur et au plan statistique, nous devons donner des informations sur la contribution de ce secteur à l’économie nationale. Son apport à la richesse, les emplois créés etc. Camtel est capable de nous aider à avoir ces informations. Mais de notre côté en tant qu’expert en statistique, nous allons aider à mettre en place un système d’informations interne à camtel et une base de données qui peut lui permettre d’améliorer sa gestion mais aussi de mieux connaitre l’environnement au sein duquel il est appelé à développer ses activités » a expliqué à la presse le Directeur Général de l’INS.
Une photo de famille pour immortaliser le partenariat.
Pour le Directeur Général de Camtel, « Ces deux conventions qui nous tiennent à cœur permettront de regarder l’avenir de camtel d’une autre façon, de savoir exactement où nous nous trouvons aujourd’hui et où nous allons. On ne peut pas piloter une entreprise de 3500 employés avec un chiffre d’affaires de 95 milliards sans des instruments statistiques. Etant donné que nous évoluons dans un environnement concurrentiel très difficile, nous avons besoin de nous armer, d’utiliser tous les moyens que nous disposons ou bien de ce que l’Etat met à notre disposition pour pouvoir mener à bien nos activités » et surtout de mettre en place « Un environnement qui permet à camtel de mieux assurer son pilotage » dit David Nkoto Emane. Le Directeur Général de Camtel a ainsi annoncé la mise sur pied des équipes qui permettront de travailler sur des données de masse afin d’anticiper sur un certain nombre d’actions ou d’activités propices à l’évolution de camtel pour voir quelles sont les menaces ou les opportunités futures de camtel et ce sera ainsi pour l’ensemble du pays.
Le « Général de Dieu ». Communion totale avec la foule
Le jeune Pasteur camerounais encore appelé le « Général de DIEU » était l’orateur principal et le seul africain à cette conférence organisée avec le concours de la Marie de Montréal du 18 au 20 mai 2017 sous le thème « La Réforme Sociétale : Proposer une orientation socio-économiques aux politiques pour un développement holistique de l’homme ».
Le Pasteur Dieunedort Kamdem vient à nouveau de démontrer aux yeux du monde son fort capital sympathie, son savoir et son savoir-faire, à travers sa brillante et remarquable prestation à cette conférence à laquelle a pris part le président du Conseil de la ville de Montréal. Le « Général de Dieu » était non seulement l’Orateur principal, mais aussi le seul africain sur les 14 nationalités présentes. En effet les participants sont venus des Etats Unis d’Amérique, du Chili, d’Haïti, du Venezuela, d’Argentine, de la Belgique, de la Grande Bretagne, du Mexique, de la France, de la Chine etc..
Ayant séduit et captivé le public, le Pasteur Dieunedort Kamdem a été approché par la délégation des sénateurs de Haïti qui l’ont officiellement invité au mois de juillet pour la même conférence prévue du 2 au 9 juillet 2017. Au cours de ce séjour le Pasteur Dieunedort Kamdem sera reçu par le sénat Haïtien.
Le Pasteur Dieunedort Kamdem, un grand Orateur
« Tu es né original, ne meurs pas une photocopie. Les absents au lieu du rendez-vous du changement de l’histoire subissent toujours les décisions que les autres ont prises à leur place » aime à rappeler le « Général de DIEU ». Pour lui, « Quand c’est Dieu qui t’honore tu le seras dans tous les pays où tu vas sans rien forcer. Laisse Dieu t’ouvrir les portes et ne soit pas pressé ». Durant cette conférence, « le Seigneur a encore honoré son Serviteur et deux heures après avoir déposé le micro personne n’arrivait à sortir de la salle tellement épris et envahi par la gloire de Dieu » déclare le « Général de Dieu » visiblement satisfait de la réussite de cette autre mission en terre canadienne.
Le côté « People » du jeune Pasteur.
Jeune, aux allures de séducteur et de star, le Pasteur Dieunedort Kamdem marque les esprits à chacune de ses apparitions. Même dans les médias. Son récent passage à une émission sur la chaine privée camerounaise Canal2 International continue à faire parler de lui jusqu’à présent sur les réseaux sociaux. Son franc parlé (avec un brin d’humour), la pertinence de ses déclarations ainsi que son humilité et son esprit de partage, font du Pasteur Dieunedort Kamdem, un homme de Dieu crédible et apprécié non seulement par les fidèles, mais également par ses pairs. A Yaoundé, il reçoit sans cesse à son bureau, toute personne désireuse de bénéficier de ses riches conseils.
Inauguration du Musée d’Elembe par le Ministre des Arts et de la Culture Pr. Narcisse Mouelle Kombi
La célébration de l’édition 2017 sous le thème « Musées et histoires douloureuses : Dire l’indicible dans les Musées », a été marquée par d’importantes articulations.
Célébrée régulièrement autour du 18 mai de chaque année à travers le monde, la Journée Internationale des Musées a été célébrée le 23 mai 2017 au Cameroun. Parmi les grandes articulations de cette célébration, on note l’inauguration par le Ministre des Arts et de la Culture, Pr. Narcisse Mouelle Kombi, du Musée d’Elembe dans le village Nkolo III, dans une banlieue de Yaoundé. Ce musée qui a pour thème « art et tradition » vise « l’exposition, la conservation, la recherche le tourisme et le développement local. Il œuvre pour la sensibilisation de la population camerounaise à ses valeurs culturelles afin d’aboutir à une réappropriation de son patrimoine matériel et immatériel pour un développement soutenable » a déclaré sa promotrice, Angeline Elembe. On retrouve dans ce musée plusieurs collections : collections culinaires, chasses et pêches, musique, ludiques et jeux etc…
Le Ministre des Arts et de la Culture fait Notable « Mvog Manga » au Musée d’Elembe
En fin d’après-midi, au Musée national, l’on a eu droit à des discours, la remise des objets d’art au Ministre des Arts et de la Culture, pour le compte du Musée National par quatre donateurs , des prestations artistiques et la remise de sa Médaille de Chevalier de l’Ordre national de la Valeur à l’artiste Elvis Kemayo, pour le compte du dernier Festival National des Arts et de la Culture(Fenac).
Photo de famille au Musée national autour du Ministre Mouelle Kombi. A sa gauche,l’artiste Elvis Kemayo, médaillé.
Pour le Ministre des Arts et de la Culture, « Les musées sont des réceptacles des épopées collectives des peuples. Et le long récit des peuples comme le long récit de l’histoire de l’humanité est marquée par les drames et les tragédies. Des moments d’euphorie sont suivis par des moments de douleur, des moments de tragédie, et les musées racontent l’histoire des peuples, l’histoire des nations, l’histoire des Etats. Le notre raconte l’histoire du Cameroun à travers ses différentes périodes, mais il nous rappelle aussi les sacrifices que les pères fondateurs de ce pays, que nos ancêtres qui sont exaltés dans l’hymne national,(on parle bien du berceau de nos ancêtres), ont eu à consentir pour que nous puissions bénéficier aujourd’hui de l’unité, de la paix et de la stabilité ». Le Pr Narcisse Mouelle Kombi ajoute que « Ce musée national est l’emblème de la mémoire collective de notre nation et le fait que le président Paul Biya ait décidé de faire de l’ancien Palais Présidentiel, de l’ancien siège du pouvoir de l’administration française sous la tutelle comme sous le mandat, le siège du musée national, est quelque chose de tout à fait symbolique et nous invitons les camerounais à s’approprier ce lieu de mémoire qui les rattache à leur histoire, qui les rattache à la trajectoire de la construction historique de l’Etat, de la république, de la nation camerounaise mais également qui les rattache à leurs différents terroirs par ce que ici sont représentés les différents éléments du génie culturel et artistique issus de nos quatre grandes aires culturelles, de toutes les régions du pays ».
Une image de l’accident ferroviaire survenu le 21 octobre 2016 à Eseka
Après sept mois d’attente, l’enquête a été rendue publique par un communiqué signé le 23 mai 2017 par le Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh. Lire l’intégralité de ce Communiqué de la Présidence de la République.
Le Comité d’organisation et les partenaires. Réunion stratégique de concertation le 24 mai 2017 à Yaoundé
La réunion avec les administrations publiques et privées, les médias et tous les autres acteurs qui prendront part à cet évènement, a eu lieu à l’hôtel Hilton hier 24 mai 2017. Pour faire le bilan des préparatifs de ce salon prévu du 25 au 30 juillet 2017 à l’esplanade du Musée national.
« Unité nationale, gestion de proximité et développement inter-régional équilibré du Cameroun » c’est le thème choisi par le Comité d’Organisation pour la 6è édition de « La vitrine du Cameroun-SAGO » 2017 qui se tient du 25 au 30 juillet 2017 à l’esplanade du Musée national (ancien Palais Présidentiel) à Yaoundé. Au programme, des rencontres, Conférences, Exposition, Une Soirée des partenaires etc… « La principale et la plus importante innovation cette année, c’est l’organisation du forum des collectivités territoriales décentralisée qui va mobiliser 374 communes » annonce Patrice Assiga Eyene, l’organisateur du Salon qui ajoute que « comparativement aux éditions précédentes, je crois que cette année on est entrain de presque rafler tous départements ministériels, tout au moins ceux qui ont des porte-feuilles bien précis. La mobilisation est plus importante cette année ». On comprend donc pourquoi de nombreux partenaires, des administrations publiques et privées ont pris massivement part à cette réunion de concertation et d’évaluation qui s’est tenue au 10è étage de l’hôtel Hilton de’ Yaoundé sous la présidence de Dieudonné Mbarga, du Programme National de Gouvernance(PNG).
La Cameroon Télécommunications (camtel) sponsor officiel de l’évènement y était bien représentée. Pour Benjamin Gérard Assouzo’o, le Directeur Marketing et communication de cette entreprise citoyenne « les enjeux pour Camtel dans le cadre de cette 6è édition du Sago sont hautement importants : Nous sommes dans la mouvance du développement de l’économique numérique. Il est important que Camtel mette à la disposition de l’ensemble de la population camerounaise, les communications les plus efficaces dans leurs innovations, dans leur potentiel et surtout dans les coûts de manière à ce qu’on ne sente pas peser le soucis de développer une économie numérique. Nous viendrons avec ce que nous avons déjà apprêté. On a apprêté des maisons numériques que tout le monde peut déjà créer à l’intérieur de sa propre maison, le service étant étendu et surtout à très faible coût. On a apprêté des bureaux numériques, chacun peut dans son petit business s’assurer que, désormais il communique avec le monde entier sans trop d’efforts en qualité. …nous allons aussi permette à chaque entreprise ou à chaque individu de créer rapidement un site internet sans avoir à craindre… » Camtel compte aussi présenter au cours de ce Salon, son ambitieux projet de câble sous marin entre le Brésil à partir de Fortareza et la ville de Kribi au Cameroun. « Nous allons présenter cela pour que tout le monde sache que le Cameroun n’est pas seulement un pays du tiers monde, mais que le Cameroun appartient au monde et que le Cameroun peut faire de grandes choses, celles qui permettent de s’assurer que nous ne sommes pas seulement receveur, mais sommes aussi donneur pour la civilisation de l’universel ».
Bon à savoir, « La Vitrine du Cameroun-SAGO », est une plate forme annuelle de visibilité et d’échanges pour les acteurs du travail gouvernemental, le secteur privé et la population. Il accueille chaque année, plus de 200 exposants des secteurs public et privé. Environ 70.000 visiteurs y participent chaque année. L’entrée est libre et le restera toujours. Plus d’infos sur le site web de l’évènement www.sago.cm
La Ministre délégué à l’agriculture et au développement rural Clementine Ananga Messina. A sa gauche le Ministre des Arts et de la Culture et à sa droite le Pr. Charles Binam Bikoi
Le Centre International de Recherche et de Documentation sur les Traditions et les Langues Africaines (CERDOTOLA) a organisé le 24 mai 2017, à Yaoundé au Cameroun, un Atelier international de lancement de son nouveau Programme intitulé Alimentation Patrimoniale des Africains(ALIPA). Les objectifs de ce Programme.
L’objectif principal de ce programme est de faire un inventaire des savoirs et savoir-faire, des aliments et des produits agricoles traditionnels locaux, dans le but de conserver les pratiques locales, de réguler l’utilisation qui en est faite et de les valoriser. C’est Clémentine Ananga Messina, Ministre délégué auprès du Ministre de l’Agriculture et du Développement rural qui a ouvert officiellement les travaux de cet atelier qui a connu la participation du Ministre des Arts et de la Culture, Pr. Narcisse Mouelle Kombi.
L’atelier de Yaoundé dont les travaux se poursuivis au Siège du CERDOTOLA, au quartier Bastos, a bénéficié d’une expertise internationale de haut niveau. Les participants venus de Tunisie, du Brésil, de la Côte d’Ivoire, de France, du Bénin et du Cameroun ont ainsi échangé les expériences et les connaissances autour de la diversité des modèles d’alimentation d’Afrique, des défis techniques, nutritionnels et sanitaires. Cet atelier leur a permis de rassembler les initiatives et réseaux impliqués et de mettre en évidence le rôle des femmes et de mieux cerner le poids des politiques publiques.
Pour le Secrétaire exécutif du Cerdotola, le Pr Charles Binam Bikoi, « Nous lançons aujourd’hui l’ALIPA en référence à ce que représente l’alimentation en tant que culture et en tant que patrimoine. Car il ne s’agit pas simplement de se nourrir. Les enjeux sont beaucoup plus grands. La labellisation, la patrimonialisation ouvrent des perspectives de standardisation et de surrentabilisation des pratiques culturelles, de médiatisation des productions, voire de sacralisation ou du moins de protection des process d’élaboration et des pratiques de consommation qui les pérennisent en même temps qu’elles créent des richesses et apportent de la densité et du prestige à la texture identitaire des pays, des peuples et des sociétés productrices ou détentrices du patrimoine identifié ».
Le Révérend Dr. Dieunedort Kamdem Nounga, le « Général de Dieu », promoteur de la Cathédrale de la foi, a décidé de parler : De l’église, des fidèles, de ses projets et ambitions,des médias et de ses détracteurs. Interview exclusive.
Révérend Pasteur Dieunedort Kamdem, un documentaire sur vous et dont la vidéo circule sur les réseaux sociaux vous présente comme un grand homme d’affaires. Comment avez-vous réagi en regardant cette vidéo ?
Homme d’affaires non.Prédicateur,Général de Dieu oui.C’est comme si vous direz qu’aujourd’hui Son Excellence le Président Paul Biya est un agriculteur par ce qu’il a un champ d’ananas .C’est vrai et c’est faux. C’est faux par ce que sa principale fonction c’est d’être Président de la République. Il dirige les affaires de l’Etat et de temps en temps, il peut aller au champ, d’ailleurs comme la plupart des personnes. Disons que Dieunedort kamdem est un homme de Dieu, qui a pour but principal de gagner les gens à Jésus, vider l’enfer et peupler le ciel. C’est ça mon objectif, le but de ma vie est simple, gagner 100 millions de personnes dans 120 pays dans le monde avant 2050 et susciter 1 million de serviteurs de Dieu. C’est la raison pour laquelle je vis. Or pour accomplir cet objectif, il est important d’avoir des moyens nécessaires pour pouvoir le faire. Par exemple vous n’irez pas dans une librairie demander qu’on vous donne gratuitement la bible parce que la parole de Dieu est gratuite, vous allez dépenser 5 milles, 8 milles ou 10 milles pour avoir une bonne Bible. Pareil pour les livres chrétiens. Donc il faut savoir que l’évangile est gratuit mais l’évangélisation est coûteuse, pour aller dans les médias, faire des séminaires, des conférences, louer le stade pour tenir nos conférences, il faut de l’argent et cet argent vient des contributions. On dit que nous passons le temps à utiliser les pauvres pour devenir riches, je dirai à ces personnes que si le Général de Dieu Dieunedort kamdem Nounga et les pasteurs des églises de réveil deviennent riches sur le dos des pauvres, alors ils devraient recevoir le prix Nobel de l’économie par ce qu’ils arrivent à faire quelque chose de miraculeux.Prendre un pauvre et devenir riche à partir d’un pauvre, ce qui veut dire qu’ils ont des possibilités de produire de l’argent à partir de rien et ça s’est un miracle.je pense à mon humble avis que soit les gens qui sont à l’église ne sont pas vraiment pauvres, ils sont très riches et les pasteurs profitent d’eux soit alors ils sont pauvres et les pasteurs apportent plutôt quelque chose de plus dans leur vie,ou que l’argent vient d’ailleurs.
Alors d’où vous provient votre fortune ?
Pour mon cas, mes moyens viennent à peu près de mes livres, j’ai près de 24livres que j’ai écris et que je vends lors de mes différents voyages, aux Etats unis, France, Italie, etc. D’ailleurs feu Charles Ateba Eyene de regretté mémoire disait qu’il était devenu riche à partir de 4 ou 5 livres qu’il avait écrits .Si moi je suis à plus d’une vingtaine de livres… par ailleurs je suis Promoteur d’une chaine de télévision kanodi tv de 4 stations de radios au Cameroun. Je suis un conférencier international, sans compter les dîmes et les offrandes.
Mais pourtant il y a encore des camerounais qui pensent que ce serait l’argent des fidèles…
Les fidèles que nous avons en réalité ne sont pas aussi nantis que ça pour dire qu’on s’enrichit sur le dos des fidèles. Pour moi, c’est même une insulte pour les fidèles, c’est dire que ces fidèles sont bêtes que pendant 10 ans ils suivent un homme qui ne fait que prendre leur argent sans qu’ils ne se plaignent ? Pour que quelqu’un te suive pendant 10 ans il faut qu’il trouve son bénéfice, il faut qu’il trouve son compte quelque part. Et croyez-moi lorsque nous avons ouvert les églises cathédrale de la foi, j’étais le seul qui avait la voiture, aujourd’hui dans les parkings des églises cathédrale de la foi, vous n’imaginez pas le nombre de personnes véhiculées. Le document auquel vous faites allusion a montré que ce ne sont pas que des pauvres qui sont dans ces églises là.il y a des autorités administratives, des professeurs d’universités, des médecins, bref des personnalités etc…La bible est claire, le pasteur vivra des offrandes, des dîmes, le pape n’a pas un autre travail à faire, mais il se déplace et il vit sur la base des collectes qu’on fait dans les églises catholiques. Pareil pour l’église évangélique, tous les pasteurs doivent vivre là où ils rendent ministère, et il n’y a aucun problème pour un fidèle d’offrir quelque chose au pasteur.
On a remarqué à travers ce documentaire que certains médias vous encensent d’autres vous discréditent. Quel est l’état des relations que le général de DIEU Dieunedort kamdem entretien aujourd’hui avec la presse camerounaise et internationale ?
Au niveau de la presse camerounaise, le climat est serein. Moi j’aime beaucoup les journalistes, et je trouve que c’est un travail noble et à respecter. il ya certes des brebis galeuses comme dans tous les corps de métiers, mais il ya les journalistes qui font bien leur travail et qui ont une bonne volonté et faute de moyens sont obligés de racoler pour faire leur travail. Les journalistes aiment ceux qui font le buzz,celui qui a à dire, et qui ne fait pas dans la langue de bois, celui qui peut parler sans retenu comme moi.je dénonce, j’interpelle sans langue de bois.Quand c’est bon, je le dis quand ce n’est pas bon, je le dis aussi je ne vis au dépend d’aucun ministre, ou d’aucun gouvernement, je vis au dépend de Dieu. La presse internationale, par contre a un regard très favorable vis-à-vis de moi malheureusement plus que la presse de mon pays. Mais il n’y a pas que moi qui suis victime de cet esprit de crabologie qui consiste à tuer les icônes, le cas de Samuel Eto’o, et d’autres célébrités et icônes du pays. Même les champions de la CAN, on dit déjà des choses bizarres sur eux. Nous devons comprendre aujourd’hui notre contexte et le gérer tour en priant que DIEU permette à ce que le système qui a été mis en place qui n’est pas favorable à une certaine sorte de liberté puisse changer.
Vous avez récemment séjourné à Montréal où vous avez participé à une conférence internationale comme principal orateur et seul africain, pouvez-vous nous en parler ?
Voilà encore les avantages de ce documentaire. J’étais à Montréal il ya deux ou trois mois et quand je reviens le documentaire sort et c’est comme ça que le mouvement Action basé à Montréal, m’a invité officiellement pour que je parle de la reforme sociétale, c’est-à dire comment amener l’église en tant qu’entité à être un point de développement participatif pour la nation.Voir quel est le rôle que l’église doit jouer, voir quel type de reforme adopter pour que l’église ne soit pas marginalisée, comment mettre l’éthique dans le développement que nous sommes entrain de faire.Et je pense qu’au Cameroun on devrait travailler sur cette optique là ; Il y’a 17 nations qui étaient représentées à cette conférence.J’ai reçu une autre invitation pour le canada et j’ai même été invité à Haïti en juillet prochain pour une autre conférence similaire. Je serrai donc reçu par le sénat haïtien.J’aurai ainsi à représenter le Cameroun.Je pense à mon avis que cette représentativité devrait être valorisée et utilisée pour voir comment faire pour peindre l’image de notre nation.
Quel type de sentiment avez-vous de savoir qu’à l’extérieur vous êtes reçu en héros et qu’au Cameroun on veut plutôt salir votre image?
Humainement c’est le sentiment de partir vivre ailleurs. D’ailleurs beaucoup de mes confrères ont décidé de vivre à l’étranger. Il ya comme un esprit dans ce pays qui combat les légendes.ça doit s’arrêter. Presque toute ma famille vit à l’étranger, je suis l’un des rares à vivre au Cameroun, à cause d’un élan patriotique. J’aime ce pays et je me battrai pour ce pays. Je donnerai ma vie pour ce pays. Car Je crois que le réveil mondial viendra à partir de cette nation. j’ai reçu de la haute hiérarchie des félicitations, ainsi que des confrères et même des journalistes.
Quelle est votre réaction à propos de ces pasteurs qui sont accusés des déviances, qui abusent de leurs fidèles et les escroquent ?
Je déplore et je les condamne toutes ces déviances et tous ces maux.En tant que serviteur de Dieu nous devons nous comporter dans la sainteté, marcher dans la pureté. Un homme de Dieu qui ne marche plus selon Dieu devrait se repentir et chercher la face de Dieu. Mais il ne faut pas croire que c’est le propre des églises dites de réveil, même dans des églises protestantes, presbytériennes. Il ya des procès contre des prêtres pédophiles dans des églises catholiques. C’est pourquoi les pasteurs des églises dites de réveil doivent se réveiller et apprendre à poser des actions pour le développement. J’ai ainsi un message fort contre la pauvreté et pour la prospérité. Je déteste la pauvreté de toutes mes forces. Et toute personne qui aime et désire être pauvre est possédée.Parce que Dieu n’a pas créé l’homme pour qu’il soit pauvre mais pour qu’il prospère et pour qu’il jouisse des biens qu’il a posés sur la terre.
Vos rapports avec vos confrères…
Ce sont des rapports très respectueux. je suis reconnu comme le porte parole des églises dites de réveil et je l’assume.Je suis comme un père, ça fait 30 ans que j’avance avec Dieu. Ce sont des rapports paisibles, mais conflictuels pour ceux qui ont trempé dans des choses bizarres,d’ailleurs certains documentaires contre ma personne sont parfois l’œuvre de mes paires. Vous savez Jésus a été trahi par judas, mais il était toujours le messie.
Vous êtes à la tête d’une grande église, vous écrivez des livres, vous êtes propriétaire des medias, c’est quoi la suite ?
Je compte jouer un rôle majeur dans la lutte contre la pauvreté au Cameroun. Nous sommes entrain de construire un hôpital à Soa (près de Yaoundé), la fondation est déjà posée, à Bertoua nous comptons ouvrir une école, un collège, un orphelinat, à Douala nous construisons un institut de formation en journalisme, et nous allons mettre sur pied une équipe de football, au plan politique, je n’ai aucun projet, mais je sais que quelque soit lamba je serai conseiller à la présidence de la république.
France Médias Monde a appris avec un immense chagrin la disparition brutale, le vendredi 26 mai 2017, de Jean-Karim Fall à l’âge de 59 ans. Il était en mission à Taormine, en Sicile, où il couvrait le Sommet du G7 pour France 24.
A RFI, certains l’avaient rebaptisé « tonton ». C’est dire tout le respect que lui vouaient ses collègues. Les plus jeunes en particulier qui voyaient en lui un modèle dans la profession. Tonton fligueur parfois, car Jean-Karim Fall était exigeant. Mais toujours avec humour.
En deuxième partie de carrière, il était devenu un habitué des voyages officiels et des grands sommets africains. Mais s’il savait les faire « vivre » à l’antenne, c’est parce qu’il s’était nourri d’années et d’années de terrain africain. Personne n’avait oublié ses grands faits d’armes : la guerre civile au Liberia, la première crise Ebola au Zaïre, il était l’un des rares à s’être rendu au coeur de la zone infectée.
Journaliste tout terrain, mais pas tête brûlée. De son adolescence au Niger, Jean-Karim Fall avait gardé l’art de la palabre y compris avec les militaires, ce qui lui permettait de savoir calmer le jeu au besoin.
Percutant lors de ses interviews avec les chefs d’Etat, Jean-Karim Fall se faisait peu d’illusion sur les coulisses parfois peu reluisantes de la politique africaine. Mais il n’en était pas devenu cynique pour autant. Car il aimait ce continent et cultivait son sens de l’humour. Y compris face aux pressions.
Parmi les anedoctes, qu’il aimait raconter, citons ce jour où chez lui à Kara, au Togo, le président Gnassimbé Eyadema l’avait accueilli en lui disant « vous ne travaillez pas pour RFI mais pour RFaux ». Faux évidemment.
L’un des plus éminents spécialistes du continent africain
Un père sénégalais et une mère français, dès sa naissance en 1958 Jean-Karim Fall partage son coeur entre la France et le continent africain. Il passe une partie de son adolescence au Niger et très tôt aux côtés de son père, le ministre diplomate sénégalais Kader Fall, Jean-Karim fréquente les grandes figures africaines de l’époque.
Il rentre ensuite en France, à Toulouse, où il va à l’université puis Lille, où il étudie le journalisme au sein de la prestigieuse ESJ, l’Ecole supérieure de journalisme.
A sa sortie, c’est tout naturellement qu’il se tourne vers RFI où il est embauché en 1984.Très vite Jean-Karim Fall fait ses preuves, devient grand reporter et multiplie les terrains difficiles. La guerre du Golfe en 1990-91, la guerre civile au Liberia, les émeutes anti-françaises à Port-Gentil.
Puis il retourne s’installer en Afrique. Envoyé spécial permanent de RFI à Abidjan entre 1992 et 1995, puis à Libreville, mais là il ne reste qu’un an car en 1996 il est rappelé à Paris pour prendre la tête du service Afrique. Poste qu’il occupe presque sans discontinuer jusqu’en 2012.
De ces années, les auditeurs se souviendront entre autres de sa couverture des grands sommets africains. En 2012, il quitte RFI mais pas le continent dont il est devenu l’un des plus éminents spécialistes, et qu’il continue à suivre avec passion pour France 24, qui le nomme rédacteur en chef.
Exposées à toutes sortes de prédateurs, elles finissent souvent malheureuses. Quelques-uns des hommes qui croisent leur chemin, développent un complexe d’infériorité, malgré le fait qu’ils sont les élus du moment. Lire cette publication du journaliste camerounais Morgan Palmer intitulée « Le handicap des femmes au potentiel physique élevé ».
Exposées à toutes sortes de prédateurs, elles finissent souvent malheureuses. Quelques-uns des hommes qui croisent leur chemin, développent un complexe d’infériorité, malgré le fait qu’ils sont les élus du moment.Ils ressentent comme un sentiment d’illégitimité, à tenir la main d’une créature de rêve, sur laquelle se retournent beaucoup d’autres mâles. Et peu importe leur statut, ce type d’homme développe alors vis à vis de sa compagne, une espèce d’aigreur sournoise, qui s’exprime souvent par une agressivité non justifiée, une envie de les rabaisser, ou même une certaine brutalité lors des rapports intimes…
Le fait pour eux d’être avec une femme qui attire beaucoup d’autres regards et qu’ils peuvent perdre à tout moment, les met en situation de panique. Ils sont donc conditionnés à la négativité vis à vis de la femme qu’ils ont pourtant choisi…Malheureusement, plusieurs femmes au physique avantageux et portées sur le clinquant, tombent souvent sur ces profils d’hommes.
Cela s’explique facilement. Compte tenu du nombre élevé de prétendants, elles négligent de se caser. En prolongeant inutilement la durée du casting, elles perdent leur temps à collectionner des relations ou elles ne gagneront rien à la fin. Les millions qu’elles héritent de leurs nombreux donateurs du temps de la splendeur, repartent aussitôt sur les toilettes, les petits plaisirs, le train de vie Etc… Tout ce qu’elles gagnent est réinvesti dans l’entretien de leur plastique: c’est le syndrome de la surenchère féminine.
Ce n’est que quand elles approchent leur fin de cycle d’activités, qu’elles se rendent compte qu’elles n’ont rien pu mettre de côté. Alors même que la liste des courtisans et les rentrées d’argent deviennent rares…La beauté est comme une pivoine. C’est une belle fleur qui ne dure pas longtemps.Il faut prendre le temps de construire ses relations..
En octobre dernier, l’Igbonla Model College a été envahi par des individus armés qui avaient ensuite enlevé le directeur adjoint, un enseignant et quatre élèves
Six élèves de l’Igbonla Model College près d’Epe, dans l’État de Lagos, ont été enlevés par des individus armés non identifiés.
L’enlèvement de ces élèves relance le problème du kidnapping avec demandes de rançons, une pratique très courante au Nigéria.
Les individus armés qui sont arrivés par la voie navigable pour accéder à la forêt marécageuse bordant l’école ont ensuite creusé un trou sur une partie de la clôture pour accéder à l’établissement.
Les faits sont confirmés par Olarinde Famous-Cole, le commandement de la police d’État de Lagos.
Dans un communiqué, il précise qu’une enquête a été ouverte sur cet enlèvement intervenu jeudi dernier(le 25 mai 2017), vers 5 heures du matin.
Olarinde Famous-Cole qui a qualifié « d’acte ignoble » le rapt de ces enfants a indiqué qu’ « il n’y a aucune justification à cet enlèvement d’enfants innocents ».
Il a assuré que la police et les autres agences de sécurité renforceront leurs mesures pour assurer la sécurité et la sûreté des habitants de Lagos.
En octobre dernier, l’Igbonla Model College a été envahi par des individus armés qui avaient ensuite enlevé le directeur adjoint, un enseignant et quatre élèves.
De la prestigieuse Palme d’or, au prix du jury en passant par les prix d’interprétation, de nombreux prix ont été distribués dimanche soir(28 mai 2017) par le jury au palais des festivals à Cannes.
Palme d’or
Le film suédois « The Square » de Ruben Östlund qui se moque du monde de l’art remporte la Palme d’or du 70e Festival de Cannes.
Dans son film, Christian (l’acteur danois Claes Bang), conservateur d’un musée d’art contemporain, prépare une exposition sur la tolérance et la solidarité, mais se heurte à ses propres limites en la matière, lorsque son univers bascule avec le vol de son portable et de son portefeuille.
Prix spécial du jury
Le jury a remis un prix spécial « du 70e anniversaire du Festival de Cannes » à l’actrice américaine Nicole Kidman, à l’affiche de deux films en compétition,
« Les Proies » de Sofia Coppola et « Mise à mort du cerf sacré » du Grec Yorgos Lanthimos. « Je t’aime, merci beaucoup, et j’espère à très très bientôt », a déclaré l’actrice américaine, déjà repartie de Cannes, par message vidéo, lors de l’annonce de son prix
Grand prix
Le film français « 120 battements par minute » de Robin Campillo, fresque sur les années sida à Paris, a reçu dimanche le Grand prix du 70e festival de Cannes, a annoncé le jury présidé par Pedro Almodovar.
« Ca a été une aventure aussi collective, une histoire qui l’a été tout autant. On est jamais aussi grand beaux et forts qu’à plusieurs », a déclaré le réalisateur français en recevant son prix.
Prix d’interprétation féminine
Loin d’Hollywood et de son image glamour, l’actrice allemande Diane Kruger a été récompensée par le prix d’interprétation féminine à Cannes pour son premier grand rôle dans une production allemande, le dernier film du réalisateur Fatih Akin.
Prix de la mise en scène
La réalisatrice américaine Sofia Coppola a reçu dimanche le prix de la mise en scène du 70e Festival de Cannes pour « les Proies ». Ce film, remake des « Proies » de Don Siegel (1971), avec Clint Eastwood, raconte l’histoire d’une directrice de pensionnat (Nicole Kidman), dont la vie est bouleversée par l’arrivée d’un soldat blessé (Colin Farrell), en pleine guerre de Sécession aux Etats-Unis.
Prix du meilleur premier film
La réalisatrice française Léonor Serraille a reçu dimanche à Cannes le prix du meilleur premier film, la Caméra d’or, pour « Jeune Femme », une comédie centrée sur une trentenaire qui cherche un nouveau départ à Paris.
Prix du Jury
Le Russe Andreï Zviaguintsev, 53 ans, a reçu dimanche le prix du Jury au 70e Festival de Cannes pour « Loveless » (« Faute d’Amour »), qui dresse un portrait âpre d’une société russe brutale et déshumanisée. Zviaguintsev, dont c’est le troisième prix à Cannes, raconte l’histoire d’un couple moscovite qui se sépare pour refaire sa vie chacun de son côté.
Prix du scénario
Le prix du scénario du 70e Festival de Cannes a été attribué ex-aequo au Grec Yorgos Lanthimos pour son film « Mise à mort du cerf sacré » et à la Britannique Lynne Ramsay pour « You were never really here », a annoncé dimanche soir le jury.
« Merci au jury pour ce beau cadeau« , a réagi le cinéaste grec, qui avait remporté le prix du jury en 2015 pour « The Lobster ». Son nouveau film au casting hollywoodien (Nicole Kidman et Colin Farrell) s’inspire de la tragédie grecque et a profondément divisé la critique à Cannes.
La réalisatrice britannique Lynne Ramsay s’est elle dite très émue en recevant son prix, devant son acteur Joaquin Phoenix. Son film, le dernier à être présenté en compétition, est une plongée cauchemardesque dans l’esprit torturé d’un vétéran.
Gilbert Tsimi Evouna, Délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Yaoundé. Au sortir des travaux.
Annonce faite par le Délégué du gouvernement auprès de la Communauté Urbaine de Yaoundé, Gilbert Tsimi Evouna, au cours des travaux de la deuxième session du Conseil de Communauté le 26 mai 2017. Ce qu’il faut également savoir…
Cette session du Conseil de Communauté était consacrée à l’examen et à l’adoption du Compte Administratif du Délégué du Gouvernement, du Compte de gestion du Receveur Municipal et du compte-matières du comptable-matières pour l’exercice 2016. L’on se rappelle que le budget de l’exercice 2016 voté par les conseillers Municipaux, s’équilibrait en recettes et en dépenses à la somme de 22.865.956.676(vingt deux milliards huit cent soixante cinq millions neuf cent cinquante six mille six cent soixante seize) FCFA.
Selon le Délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Yaoundé « Ce budget s’est exécuté dans un contexte économique difficile marqué par une morosité généralisée due à la crise financière qui secoue les économies mondiales et au plan interne, une récession due aux contraintes sécuritaires de notre pays ». Gilbert Tsimi Evouna explique que « Nonobstant ce climat délétère, la communauté urbaine de Yaoundé a fait montre de résilience et d’ingéniosité. C’est ainsi que nous avons pu continuer sereinement notre programme d’embellissement et de modernisation de la cité capitale ». Ainsi sur le plan des recette, grâce à une collaboration étroite et fructueuse avec les services de l’Etat en charge du fisc et une politique d’encadrement serrée des recettes, « Nous avons pu engranger la somme de 15 057 077 618 (Quinze milliards cinquante sept millions soixante dix sept mille six cent dix huit) FCFA au titre des recettes de l’exercice 2016, contre 14 108 088 114( quatorze milliards cent huit millions quatre vingt huit mille cent quatorze) FCFA soit un taux de réalisation de 80,07%.
Bon à savoir l’ensemble des dépenses effectuées au cours de l’exercice s’élèvent à la somme de 12 969 837 891(Douze milliards neuf cent soixante neuf millions huit cent trente sept mille huit cent quatre vingt onze) FCFA. Gilbert Tsimi Evouna affiche donc des ambitions plus grandes pour la ville de Yaoundé : « Nous allons inscrire durablement notre ville au panthéon des capitales africaines, intelligentes et harmonieuses où il fait bon vivre » dit-il.
La Société des Eaux Minérales du Cameroun (Semc), filiale de la Société anonyme des brasseries du Cameroun (Sabc), annonce qu’elle soumettra au conseil d’administration, le 7 juin 2017 à Douala, une résolution selon laquelle, elle affiche une perte nette de 315,9 millions de FCFA au 31 décembre 2016.
L’entreprise fait savoir que dans ces conditions, la position de son report à nouveau (résultat non distribué et affecté) s’est achevée sur un un solde débiteur de 202,07 millions de FCFA, contre un solde créditeur de 113,9 millions de FCFA précédemment. Des performances qui s’inscrivent dans la tendance baissière du premier semestre 2016.
Au cours du conseil d’administration du 7 juin prochain, l’on s’attend à une nouvelle impulsion de la Semc qui n’a pas réussi, comme promis en juin 2016, à inverser ses performances négatives. Et pourtant, la société indiquait l’année dernière qu’elle développerait des ventes ex-works et la réduction des coûts de distribution finale afin de demeurer compétitive sur le marché.
Le Ministre du travail et de la Sécurité sociale, Grégoire Owona remettant sa médaille à une employée de la Sodecao
Ils ont reçu leurs médailles d’honneur du travail au siège de l’entreprise à Yaoundé au cours d’une cérémonie présidée par le Ministre du Travail et de la Sécurité Sociale, Grégoire Owona.
128 employés de la Société de Développement du Cacao(Sodecao) ont reçu des médailles d’honneur du travail en Argent le 2 juin 2017 au cours d’une cérémonie festive, la première du genre, depuis la création de la Sodecao le 2 février 1974. 119 autres employés ont reçu des médailles d’honneur du travail en Vermaille et 42 ont reçu des médailles d’honneur du travail en Or.
Le Directeur Général de la Sodecao Gérôme Mvondo, a invité ces « têtes couronnées » à être des « exemples qui entrainent les autres vers un travail toujours bien fait ».
Gérôme Mvondo, Directeur Général de la Sodecao
La Société de Développement du Cacao est un Etablissement Public Administratif à vocation agricole doté de la personnalité juridique et de l’autonomie financière. Elle a été créée par le décret présidentiel N° 74/83 du 02 février 1974, réorganisée par le décret N° 80/080 du 10 mars 1980 et modifiée par le décret N° 84/078 du 19 mars 1984.
La SODECAO est l’agent d’exécution de la politique du gouvernement camerounais en matière de production du cacao. A ce titre, elle est chargée de la mise en œuvre du programme de redressement, de développement et de modernisation de l’économie cacaoyère nationale. Bon à savoir, la production cacaoyère nationale actuelle est de 269.000 tonnes.
Dans la matinée du samedi 03 juin 2017, une trentaine de militaires en attente de relève au Secteur N°1 de la Force Multinationale Mixte de la Commission du Bassin du Lac-Tchad ont entrepris d’interrompre la circulation à l’aide de barricades sur la route nationale N°1 dans la localité de ZIGUE, Département du Logone et Chari, dans la région de l’Extrême-nord. Les intéressés exigeaient leur relève immédiate par dérogation au chronogramme arrêté et à eux communiqué par leur hiérarchie et le versement de leurs primes de « soldats internationaux » de la Commission du Bassin du Lac Tchad à l’instar de celles servies à leurs camarades des Opérations de Maintien de la Paix Onusiennes. La circulation a été rétablie grâce au tact, à la perspicacité et à la fermeté des chefs militaires assistés de l’autorité préfectorale de céans. Dans un communiqué rendu public ce 5 juin 2017, le Ministre de la défense, Joseph Beti Assomo a clarifié la situation et indiqué des mesures prises sur hautes instructions du Chef de l’Etat, Chef des Armées, Paul Biya.
En effet, « Immédiatement informé, le Chef de l’Etat, Chef des Armées, a instruit le MINDEF (Ministre de la Défense) et le Haut Commandement militaire de tirer cette situation au clair et de prendre toutes les mesures appropriées pour y mettre définitivement un terme » peut-on lire. Et « S’y conformant scrupuleusement et promptement, le MINDEF a pris les mesures suivantes :- transfert des militaires indisciplinés à Yaoundé par voie aérienne dans la matinée de ce jour lundi 05 juin 2017 ;- mise aux arrêts immédiate des intéressés pour répondre de leurs actes conformément au règlement militaire ;- tenue dans l’après-midi de ce jour, d’une réunion spéciale avec les deux Secrétaires d’Etat auprès du Ministre de la Défense respectivement chargés de la Gendarmerie Nationale, des Anciens Combattants et Victimes de Guerre, le Général de Corps d’Armée, Chef d’Etat-Major des Armées, le Secrétaire Général du Ministère de la Défense, les Chefs d’Etats-Majors centraux, le Général de Brigade, Commandant le Corps National de Sapeurs-Pompiers, le Général de Brigade, Directeur Central de la Coordination à la Gendarmerie Nationale, le Général de Brigade, Commandant la Région Militaire Interarmées N°4 par intérim, le Général de Brigade, Commandant le Secteur N°1 de la Force Multinationale Mixte, le Capitaine de Vaisseau, Chef du Secrétariat Militaire, les Colonels, Directeurs de la Justice Militaire, des Ressources Humaines, des Affaires Administratives et Règlementaires, le Colonel, Chef de la Division de la Communication, les Lieutenants-colonels, Chef de la Division de la Sécurité Militaire et Chef de la Division de la Coopération Militaire et le Chef de Bataillon, Commissaire du Gouvernement près le Tribunal Militaire de Yaoundé ».
A l’issue de la réunion, des mesures ont été prises à savoir « sanctions disciplinaires à l’encontre des militaires impliqués conformément aux dispositions du Règlement de Discipline Générale dans les Forces de Défense ; convocation immédiate d’un conseil de discipline pour connaitre du dossier et proposer au Haut Commandement les sanctions appropriées à la mesure des fautes et manquements avérés ; ouverture d’une enquête judiciaire avec toutes les conséquences de Droit qui pourraient en découler ».
Par ailleurs, « Il a été demandé aux Chefs militaires de veiller au suivi du moral et de l’état d’esprit des hommes placés sous leur commandement et d’intensifier les causeries éducatives appropriées afin d’éviter la désinformation, l’intoxication voire la manipulation et le confusionnisme à l’instar de ce malheureux parallèle entre les primes onusiennes et l’Opération CBLT qui n’ont rien en commun, les Troupes de la FMM étant prises en charge par les Etats pourvoyeurs au même titre que les autres éléments des Forces de Défense des opérations nationales ». Le Ministre de la défense martèle que « La discipline doit rester la force principale des Armées » et affirme que « cet incident n’altère aucunement la crédibilité et le professionnalisme de nos Forces de Défense qui s’attèlent au quotidien, avec bravoure et dans la discipline, au combat pour la préservation de l’intégrité territoriale du Cameroun et l’éradication du groupe terroriste Boko Haram ».
Le Ministre camerounais de l’Eau et de l’Energie, Dr. Basile Atangana Kouna. A sa droite le président du Conseil des Ministres du PEAC et Madame Germaine Kamayirese, Secrétaire d’Etat en charge de l’énergie et de l’eau du Rwanda
La Réunion Extraordinaire conjointe du Conseil des Ministres et du Comité de Direction du Pool Energétique de l’Afrique Centrale(PEAC) s’est tenue le 5 juin 2017 à Yaoundé. Les objectifs de cette importante rencontre.
La Réunion de Extraordinaire de Yaoundé visait à promouvoir un dialogue direct entre les imminents membres des deux organes décisionnels du Pool Energétique de l’Afrique Centrale sur la question cruciale de mobilisation du financement conséquent des projets bancables du portefeuille des projets du PEAC pouvant faire levier pour l’accélération de l’électrification de l’Afrique centrale.
Cette rencontre de Yaoundé a également permis aux participants de passer en revue les récentes évolutions du profil des projets, d’évaluer le niveau d’exécution des prérequis restant à satisfaire en vue d’impulser l’engagement urgent des mesures palliatives appropriées. Il était par ailleurs question de lever des options techniques attractives pour la réalisation des projets et examiner les opportunités de financement spécifiques identifiées ainsi que les manifestations spontanées d’intérêts reçues par es Etats, les sociétés d’électricité ou le Secrétariat Permanent, afin de d’opérer un choix judicieux des partenaires intéressés, prescrire les diligences d’exécution et instaurer des mécanismes adéquats de suivi des engagements.
Le 12 avril 2003, la résolution N°001/PEAC/03 donnait naissance au Pool Energétique de l’Afrique Centrale(PEAC) à Brazzaville, apportant ainsi une réponse institutionnelle appropriée de haute importance pour la promotion de la coopération en, matière d’énergie au sein et en dehors de l’espace énergétique de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale(CEEAC).
Germaine Kamayirese, Secrétaire d’Etat en charge de l’énergie et de l’eau du Rwanda. « Nous avons intégré le PEAC pour des échanges énergétiques »
La situation énergétique de l’Afrique centrale best caractérisée par un niveau de consommation d’énergie par habitant et un taux d’accès aux énergies modernes les plus faibles. Au Cameroun, par exemple, le gouvernement a assigné au ministère de l’eau et de l’énergie des axes stratégiques prioritaires de développement qui se déclinent particulièrement en un programme volontariste de réalisation massive des infrastructures de production et de transport d’électricité. Le Cameroun dispose en ce moment d’une capacité installée d’environ 1300 MW, et envisage avec les bailleurs de fonds et les investisseurs privés, d’accroitre cette capacité de 1300 MW à environ 3000 MW d’ici 2023 a indiqué le Ministre de l’Eau et de l’Energie Dr. Basile Atangana Kouna qui a déclaré que « le Cameroun joue un rôle très important au sein du PEAC en ce sens que nous avons de nombreuses ressources hydroélectriques. Nous voulons justement profiter de ce potentiel pour permettre aux pays frontaliers d’Afrique centrale de bénéficier de l’énergie produite par le Cameroun ». Le Président du Conseil des ministres du PEAC, Léopold Mboli Fatram, a insisté pour sa part sur la nécessité, voire de l’urgence de financement des projets du PEAC. Véritable « enjeu » dit-il.
Les travaux de cette réunion ont été marqués par l’entrée du Rwanda au sein du Pool Energétique de l’Afrique Centrale. Son acte d’adhésion a été signé par Madame Germaine Kamayirese, Secrétaire d’Etat en charge de l’énergie et de l’eau. « Par cet acte hautement significatif, le Rwanda vient ainsi de renforcer davantage notre capacité à faire face aux défis communs inhérents au Programme d’électrification de l’Afrique centrale » a souligné le Ministre Basile Atangana Kouna.
Le Ministre de l’eau et de l’énergie, Dr. Basile Atangana Kouna et le PDG d’EDF Jean-Bernard Levy, en audience à Yaoundé.
Au cours de sa récente visite de travail à Yaoundé, le Président Directeur Général d’EDF, le français Jean-Bernard Levy a évoqué avec le ministre de l’eau et de l’énergie les bénéfices considérables de cet important projet sur le système électrique camerounais.
« Je suis venu témoigner moi-même au ministre de l’eau et de l’énergie et au gouvernement du Cameroun, de l’importance de ce projet. EDF s’engage avec des moyens humains importants, des expertises et aussi la volonté d’être un investisseurs dans la durée pour le Cameroun » a déclaré au sortir de l’audience que lui a accordé le Ministre de l’eau et de l »énergie, Dr. Basile Atangana Kouna le 6 juin 2017 à Yaoundé. La centrale hydroélectrique de Nachtigal est un projet porteur surtout que « Nachtigal apportera dans quatre ou cinq ans lorsque tout aura été construit, des bénéfices considérables sur le système électriques camerounais. L’intention d’EDF est de délivrer ses promesses dans les délais les plus rapides et en mettant en marches toutes nos expertises » a ajouté le PDG d’EDF.
Basile Atangana Kouna a évoqué avec lui, les aspects liés aux travaux anticipés. « J’ai eu de très bonnes réponses et je pense que ce projet sera réalisé et la centrale hydroélectrique sera mise en service effectivement entre 2021 et 2022. Je me félicite de la présidence du PDG D’EDF au Cameroun, c’est un des projets phares du plan de développement du secteur de l’électricité tel qu’arrêté par le président Paul Biya » a déclaré le Ministre de l’Eau et de l’Energie.
C’est ainsi qu’une lettre d’intention a été signée devant le Premier Ministre, chef du gouvernement, Philémon Yang. Cette lettre d’intention va formaliser les conventions qui ont été préparées par les équipes techniques, à savoir une convention d’engagement, une convention de dispatch et une convention de raccordement. Il est donc question désormais de mobiliser les ressources financières pour que les travaux commencent véritablement l’année prochaine.