
La Commission Nationale des Droits de l’Homme et des Libertés(CNDHL) qui s’engage à mener cette enquête invite Par ailleurs chacune des parties concernées par ces évènements à privilégier la voie du dialogue dans la recherche de solution durables à tous les problèmes posés.
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la Commission Nationale des Droits de l’Homme et des libertés se dit préoccupée par les cas de violations des droits de l’homme tels que le droit à la vie, le droit de ne pas être soumis à la torture, traitement cruel inhumain ou dégradant, le droit à l’éducation, l’accès à la justice et à la liberté d’expression.
Par ailleurs la CNDHL invite chacune des parties concernées par ces évènements à faire preuve de retenue et de civisme ; à éviter le recours à la violence et à privilégier la voie du dialogue dans la recherche de solutions durables à tous les problèmes posés. Aussi, aucun effort ne doit être ménagé pour éviter l’usage des mots, expressions et actes susceptibles d’inciser la colère et la violence.
La CNDHL invite spécialement le gouvernement à mener des enquêtes sur les problèmes posés et les violations subséquentes des droits de l’homme, à commencer par les cas de perte en vie humaine et de torture. Aussi, des mesures doivent être prises pour vérifier que ce mouvement ne grève ne soit infiltré par des promoteurs de violence pour compromettre les manifestations pacifiques prévues par la loi. La CNDHL s’engage aussi à mener une enquête indépendante sur la situation et à organiser si possible une enquête publique, vu que son mandat l’autorise à recourir aux actions concertées, au dialogue et à la médiation en vue de la promotion et de la protection des droits de l’homme.
Ericien Pascal Nguiamba